Une fois cette étape réalisée, il me paraît normal de rédiger une note de synthèse. J’expose à mon client ma vision de son besoin. Je définis les grandes lignes du projet et je lui indique comment je vais appréhender ce dossier.
Avec cette note de synthèse, je m’assure de deux points : le premier est ma bonne compréhension de l’enjeu du projet. Le second est que mon client adhère à ma vision de ce qui va être mis en place pour réaliser son besoin.
Ensuite vient le temps de définir le cahier des charges fonctionnelles.
On se pose ensemble. Il est toujours bien de commencer par les banalités sur l’entreprise. Nous en profitons pour définir clairement les besoins. Les objectifs en découlent tout naturellement.
Vient ensuite le temps de prendre en compte les contraintes, les parties prenantes.
De même, on définit toutes les fonctionnalités qui seront à retrouver à la fin du projet. J’en profite pour obtenir le degré de besoin qu’il attribue à cette fonction. Cela peut devenir important en cas de problème.
Une fois tous ces éléments recueillis, il est temps d’aller voir les bonnes personnes pour avoir une estimation de leur temps de réalisation.
À la suite de ces entrevues, le rétroplanning commence à se profiler. De même que le budget préliminaire.
Nous savons tous qu’un projet ne se mène pas seul, alors il est temps que j’expose l’ensemble du projet à toute l’équipe. Un bon dossier de cadrage va ouvrir les perspectives de chacun.
Faire en sorte que le client se projette
Un petit coup de marketing digital, de stratégie de communication et me voilà prêt à réaliser les Wireframes ainsi que les fonctionnalités.
Bien sûr, leurs conceptions se feront en fonction de l’utilisateur final.
Les « personnas » et leurs « custom journey » réalisés vont permettre de définir la méthode appliquée.
Dans certains cas, je concevrai une mise en valeur du produit ainsi qu’un environnement fonctionnel (comme des mises en situation, ou des outils spécifiques …)
Dans d’autres cas, comme pour les sites « e-commerce », je déploierai une autre stratégie (le marchandising en fiche produit). Une fiche article claire avec des photos et vidéo du produit.
Et si le produit le permet, pourquoi ne pas fournir au client des associations possibles (les « bundles »), voire même une sélection de produits qui l’accompagne (les « Push produit »).
Voilà, on ne va pas trop s’étendre sur les théories de conceptions, il y en a beaucoup de trop ! Dans le cadre de la gestion de projet digital, je sélectionne la méthode la plus pertinente pour le besoin.
Comment passe-t-on de la théorie à la pratique ?
Et hop ! Par un coup de baguette magique, l’équipe technique transforme mes idées en réalité. Ils sont trop forts, je les admire !
J’avoue que je les ai surveillés du coin de l’œil pour que rien ne dérive…
Je me dois d’être intransigeant sur la qualité des livrables.
Dans le titre de ma fonction, il y a « CHEF ». Et que fait un « CHEF », chef ?
Ça contrôle !
Alors pour le bien du client, je lance le recettage.
Magnifique, tout le monde à très bien travailler il n’y a pas d’erreur.
Maintenant que tout le monde a donné son « GO » pour la mise en ligne, c’est parti !
Les dés sont lancés. Les données arrivent, le SEO commence à réagir.
Il est temps de suivre les KPIs et de rectifier le tir en cas de problème.
Si je devais évaluer mes compétences en gestion de projet, voilà comment je définirais mes hard skills:
QUELQUES RÉALISATIONS
S’évaluer est une chose, mais se faire reconnaître en est une autre…
Ce qui nous représente le plus reste nos projets, car dans chacun d’eux, nous y mettons une partie de nous.
Alors, prenez le temps de voir mon portfolio, il détient quelques-unes de mes réalisations.